9 janv. 2008

News De France

Internet : le téléchargement illégal contourné
Le nouvel iPhone d'Apple permet, avec une connexion Wi-Fi, d'accéder aux contenus audio, photo ou vidéo de son ordinateur personnel. Crédits photo : ASSOCIATED PRESS
Bruxelles se saisit du dossier, mais les internautes ont déjà trouvé d'autres moyens de consommer films et musique.
SIX MOIS pour trouver les structures nécessaires pour bâtir une «industrie de la musique, du cinéma et des jeux qui soit forte». Alors que les pays de l'Union européenne se débattent depuis longtemps avec le piratage, Bruxelles s'empare du dossier. Viviane Reding, commissaire à l'Éducation et à la Culture, a annoncé hier l'ouverture d'une consultation publique qui devra aboutir mi-2008. Les axes de réflexion portent sur une meilleure information des consommateurs, l'harmonisation des réglementations au sein de l'Union et la mise en place de «codes de bonne conduite» entre fournisseurs d'accès à Internet, ayants droit et consommateurs.
«Nous devons donner de la sécurité juridique à l'industrie, une juste rémunération aux créateurs de contenus et un large accès à une grande diversité de contenus en ligne aux consommateurs», a indiqué Viviane Reding, qui vise 8,3 milliards d'euros de chiffre d'affaires sur les «contenus créatifs en ligne» en 2010.
Il était temps. Alors qu'aux États-Unis la RIAA, le lobby de l'industrie musicale, s'attaque aux consommateurs copiant leurs CD sur un disque dur et que la Société civile des producteurs de phonogrammes en France (SPPF) a, le 20 décembre, assigné en justice le réseau de peer-to-peer Limewire, de nombreux sites proposent aux internautes de consommer gratuitement les dernières nouveautés cinématographiques et musicales et n'étant plus tout à fait dans l'illégalité. Grâce à la technologie de diffusion, dite «streaming», l'internaute peut lire un fichier multimédia au fur et à mesure de son arrivée sur l'ordinateur sans copier de fichiers pirates.
Flou juridique
Quelques clics sur Stage6, Gigi-Studio ou Nabolister suffisent pour visionner le film Je suis une légende, tout juste sorti sur les écrans. Ces sites naviguent dans une sorte de flou juridique. Ils ne mettent pas à disposition, à proprement parler, des fichiers piratés mais se contentent d'offrir des liens vers des lecteurs vidéo comme Google Video Player et DivX Web Player qui permettent de lire n'importe quel fichier, même ceux piratés. La nuance est de taille.
Côté musique, les nouveaux réseaux sociaux musicaux comme Lala.com, Last.fm, Imeem, Pandora ou MyStrands.tv permettent aux mélomanes d'écouter un vaste répertoire sur les stations de radio créées par les autres membres de la communauté. À plus petite échelle, le logiciel Orb permet d'accéder, depuis tout terminal mobile ayant une connexion Wi-Fi, dont le nouvel iPhone d'Apple, à l'ensemble des contenus audio, photo ou vidéo de son ordinateur personnel. Puis le «mobinaute» peut les partager, grâce à un lien SMS, avec ses amis.
Pressentant le danger, la SPPF avait porté plainte, en automne, contre le site Radioblogclub, dont beaucoup d'internautes se servent pour diffuser un de leurs morceaux favoris sur leur blog.Le 17 décembre dernier, le représentant des producteurs a ensuite adressé une «mise en garde aux services de musiques en ligne» qui lancent leur offre «avant même d'avoir négocié et obtenu les autorisations nécessaires auprès des producteurs ou de leurs sociétés civiles».
Cela fait pratiquement dix ans, depuis l'affaire Napster, que les internautes et les autorités publiques jouent aux gendarmes et aux voleurs sur la question du téléchargement légal. Mais les internautes semblent toujours avoir une longueur d'avance.


Le Sainte Chapelle











Architecture
Les plans sont probablement dus à Pierre de Montreuil qui l'édifia en un temps record : de 1242 à 1248. Ce bâtiment est un petit chef d'œuvre de l'art gothique, certains auteurs considérant qu'il marque l'apogée de cet art. Conçue comme une châsse précieuse devant mettre en valeur les reliques y étant conservées, elle devait également servir de chapelle royale, étant construite dans le palais royal de l'île de la Cité. Elle superpose deux chapelles, l'inférieure pour les gens du commun, la supérieure pour l'entourage du roi, selon un usage courant dans la construction des palais royaux du Moyen Âge. Dans les premiers temps, la chapelle haute n'était d'ailleurs accessible que par les galeries supérieures du Palais, Saint Louis n'ayant pas fait construire d'escalier public




Chapelle basse
Plafond de la Chapelle basseLa chapelle basse, dédiée à la Vierge, était accessible aux gens de service et sert de socle à la chapelle haute. Basse de plafond, bordée de piliers massifs supportant tout le poids de l'édifice, elle n'existe que pour son utilité fonctionnelle et architecturale, permettre d'alléger au maximum la construction en supportant tout le poids de la chapelle haute.

Chapelle haute
Chapelle hauteLes murs de la chapelle haute sont totalement supprimés, remplacés par de larges baies laissant passer la lumière, seulement séparées par de minces faisceaux de piliers. Les vitraux représentent des scènes religieuses. Celles-ci ont été choisies en fonction de l'emplacement des personnages royaux suivants les offices, des vitraux évoquant le roi David ou le roi Salomon étant placés près du roi.
Les vitraux constituent un ensemble homogène, dont les dominantes rouge et bleue donnent à cette chapelle son éclat.
Les fenêtres de la nef d'une hauteur de 15,35 mètres et d'une largeur de 4,70 mètres, sont divisées en 4 lancettes et surmontées d'une rose à 6 lobes et 2 quadrilobes (élément en forme de trèfle à 4 feuilles). Les fenêtres de l'abside d'une hauteur de 13,45 mètres et larges de 2,10 mètres, ne comportent que 2 lancettes et 3 trilobes (élément en forme de feuille de trèfle).

Divers
À l'origine, un petit bâtiment annexe avait été construit près de l'abside. Le niveau inférieur servait de sacristie tandis que la pièce située au niveau de la chapelle haute accueillait les saintes reliques. Cette annexe a disparu en 1777, lors de la reconstruction de la grande cour.
La chanteuse islandaise Björk a donné deux concerts dans la chapelle haute les 23 et 25 août 2001.
La chapelle du château de Vincennes qui conserva ces reliques le temps de la construction de la chapelle de l'île de la Cité porte aussi le nom de Sainte-Chapelle.
Walt Disney s'en inspira pour construire le château du parc de Disneyland.
Une cave américaine de l'Idaho (Ste Chapelle Winery) tire son nom de la chapelle parisienne. Apres un voyage en France, son fondateur décida de recréer (dans une moindre mesure) les hauts vitraux de la chapelle haute

3 janv. 2008

La culture française


La culture française est riche, diversifiée et ancienne, et reflète ses cultures régionales et l’influence des vagues d’immigration de toutes époques. Sa capitale, Paris - la Ville lumière - est depuis longtemps un foyer culturel important (la Sorbonne...), accueillant les artistes de toutes origines, et abrite aujourd'hui le plus grand nombre de sites à caractère culturel au monde (musées, places, bâtiments et autres). Certains de ces sites sont consacrés à une grande variété de thèmes (notamment au sein du musée du Louvre) ainsi, cette richesse de la culture a fait de la France, ainsi que de Paris, les premiers sites touristiques mondiaux.
Patrie de nombreux philosophes (le XVIIe siècle ou Grand siècle, et le XVIIIe siècle ou Siècle des Lumières étant les siècles d'or de la France), la culture française a légué au monde la langue des diplomates, une certaine conception universelle de l’homme (parfois jugée un peu franco-centrée), de nombreuses réalisations techniques et médicales et un art de vivre ancestral.
Après avoir inventé le cinéma à Lyon et défendant avec ardeur l'exception culturelle, la France développe une industrie cinématographique qui reste en Europe l'une des rares à résister à la machine hollywoodienne[32].
La musique française a également su se démarquer par de grands noms à toutes les époques, et ce, à travers le monde.
sculpture : voir l’article dédié Sculpture française,
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cinéma : voir l’article dédié Cinéma français,
cuisine : voir l’article dédié Cuisine française La culture française continue de rayonner au sein de la Francophonie qui lui fournit également des contributeurs francophiles d’exception

BoNjouR!





BouJour!

Je m’appelle Chutaporn. Mon surnom est “PoyKo”.

Je suis á l’école Satit en M.5. J'ai 16 Ans.

J’aime le chien et jouer les jeux en internet.

Mon Prof. est M.Tawit Wiriya. Á l’école a beaucoup d’activité.

Par exemple>> Jeux de role, Répondre le question,

Chanter la chanson et le camps de Français. On a très heureuse.


Mon information? Si regardait en web site!